Avec le soutien financier de la Commission Européenne

Avec le soutien financier de la Commission Européenne
"Jeuns' Today in Europe" are placere sa va anunte azi lansarea blogului ei "Jeuns' Today in Europe" este o associatie de juniori a caruri membre au dela 15 la 17 ani. Aceast blog este o platforma Web de partagare (o classa multiculturala) alimentata de lucrul elevilor de mai multe nationalitati pentru un lucru colaborative si coopérative. Objectivul este valorizarea atit asemanarilor cit si differentelor care exista intre diferite comunatati care participa la aceasta reflectie. Toti sunt bine veniti a alimentat acest blog. Tema de reflectiune comuna este: Valorile universale. Noi va propunem prima tema in jurul solidaritatii cu persoanele in virsta. Studiul notru poarte de populatia mai in virsta de 60 ani dela cantonul Doullens, un oras mic de 6000 de locuitori in Picardia si in special de se ocupa de aceste persoane. Noi o sa facem anul asta scolar differite proiecte pentru a appropria legaturile intre generatii. Acest blog o sa fie deci si un loc de scimbiuri, de experiente pentru a developa simtul european al tinerilor. Best Regards

dimanche 25 mars 2007

Quelques données chiffrées

Informations et statistiques sur la Roumanie : cliquez ici

dimanche 11 mars 2007

Protection de l'enfance en Roumanie

Nous avons obtenu auprès de Madame la secrétaire d'état - Mariela Neagu - la loi du 21/06/2004 sur la protection et la promotion des droits de l’enfant


La réforme de système de protection de l'enfant en Roumanie date de 2004.

En janvier 2005 a été créée l' "autorité nationale pour la protection des droits de l'enfant" (NAPCR) qui coordonne le processus de réforme au niveau national.
Dans chacun des 41 départements de Roumanie, une administration départementale est en charge de la protection de l'enfant.

Depuis le 1er janvier 2005, l'institutionnalisation des enfants abandonnés âgés de moins de 2 ans est interdite. Et donc, pendant les 2 premières années de leur vie, les bébés abandonnés restent dans les services hospitaliers ou sont confiés à des assistantes maternelles rémunérées.

Actuellement, il y a 1718 services publics pour la protection de l'enfant fonctionnant en Roumanie, 1140 sont des services du type de "résidentiel-soin".

Ce type de services assure l'entretien, le rétablissement et le développement de la capacité de l'enfant, aussi bien que de ses parents, et aide à surmonter toutes les situations qui pourraient mener à la séparation de l'enfant de sa famille.

Il existe des services de garderie, des Consultations pour aider les parents, des centres d'aide et d'assistance pour la réintégration des enfants avec des problèmes mentaux et sociaux, des services de surveillance, aide et soutien des femmes enceintes en danger d'abandonner leurs enfants.

Vous pouvez aller sur le site NAPCR (en Roumain et en anglais): http://www.copii.ro/content.aspx

Travail réalisé par Hélène

samedi 10 mars 2007

Protection de l'enfance en Roumanie

Selon la nouvelle loi entrée en vigueur le 1er janvier 2005,

http://www.cites-unies-france.org/html/bibliotheque/pdf/Loi_no_272_2004.pdf
toutes les communes doivent créer un service d’assistance sociale comportant un « conseil communal de famille », composé des personnalités bénévoles du village (le maire, le prêtre, le gendarme, le médecin, etc…) qui connaissent les familles en détresse et devraient intervenir pour les aider.

Le « conseil communal de famille » doit travailler en coopération avec des assistantes sociales dont la loi impose l’embauche aux communes et aux hôpitaux, pour aider les familles en difficulté et convaincre les femmes enceintes de ne pas abandonner leur enfant.

Les ressources financières pour aider les familles en détresse font défaut : l’allocation d’Etat, dite de la loi 416, qui transite par le budget des Départements pour être distribuée par les communes, est de l’ordre de 7 Euros par mois (210 000 lei)

De nombreuses associations er fondations qui viennent en aide aux parents connaissant des difficultés familiales existent en Roumanie.

Nombreuses sont celles qui travaillent sur la prévention de l'institutionnalisation des enfants. Visitez le site http://www.fcn.org.ro/index_f.htm (en roumain et en français)

et bien d'autres encore sur : http://www.copii.ro/content.aspx?id=79

Travail réalisé par Marion

samedi 3 mars 2007

« Complexe de services pour enfants handicapés Trivole » de Pitesti

extraits du rapport SERA ROMANIA 2005 :
"La ville de Pitesti, chef-lieu du département de Argès, se trouve à une heure d’autoroute de Bucarest.
Nous y sommes accueillis par M. Adrian Macovei, Directeur Général de l’Assistance Sociale et de la Protection de l’Enfant du Département, et par M. Pena, son adjoint.
Le « complexul de servici pentru copii cu handicap » est installé pour partie dans le bâtiment d’un ancien orphelinat construit en 1970, réaménagé grâce à un financement de l’Union Européenne (programme Phare), et pour partie dans un bâtiment neuf dont la construction a été financée par SERA moyennant un investissement de 230 000 Euros.
La directrice s’appelle Maria Tanase.
Elle explique que le premier rôle du « complexe » est de servir de « centre de jour » pour accueillir les enfants handicapés des familles de la ville de Pitesti et des environs, et éviter ainsi l’abandon.
Inauguré l’été dernier, le « centre de jour », appelé aussi « centre de récupération », accueille actuellement 38 enfants, et il est loin d’avoir fait le plein de sa clientèle potentielle que Mme Tanase évalue à 200 enfants.
Le « complexe » a une seconde fonction qui consiste à servir d’orphelinat, baptisé « centre résidentiel », pour les enfants handicapés qui sont abandonnés.
Ils sont actuellement 19 dans ce cas, dont 5 petits rescapés du mouroir de Vulturesti , et 14 autres venus récemment directement de familles en détresse, dont des jumeaux juridiquement adoptables.
Mme Tanase nous fait visiter les locaux ultra-modernes, dotés de tous les équipements dernier cri : ergothérapie, hydrothérapie avec piscine, orthophonie, kinésithérapie…
Le personnel comprend 39 salariés, dont un médecin, une psychologue, des éducateurs et éducatrices spécialisés,etc…
Dans le « centre résidentiel », les dortoirs et les salles de jeu sont gaiement aménagées, et les installations sanitaires sont excellentes.
Nous y trouvons les petits, âgés de 3 à 8 ans, en survêtement rouge, qui regardent une cassette à la télévision, sagement assis sur leurs chaises.
Ils sont affectés de handicaps divers mais, contrairement à ce qui se passait à Vulturesti, plus aucun n’est grabataire : « ils sont tous verticalisés », dit Mme Tanase."

Travail réalisé par Marine