Avec le soutien financier de la Commission Européenne

Avec le soutien financier de la Commission Européenne
"Jeuns' Today in Europe" are placere sa va anunte azi lansarea blogului ei "Jeuns' Today in Europe" este o associatie de juniori a caruri membre au dela 15 la 17 ani. Aceast blog este o platforma Web de partagare (o classa multiculturala) alimentata de lucrul elevilor de mai multe nationalitati pentru un lucru colaborative si coopérative. Objectivul este valorizarea atit asemanarilor cit si differentelor care exista intre diferite comunatati care participa la aceasta reflectie. Toti sunt bine veniti a alimentat acest blog. Tema de reflectiune comuna este: Valorile universale. Noi va propunem prima tema in jurul solidaritatii cu persoanele in virsta. Studiul notru poarte de populatia mai in virsta de 60 ani dela cantonul Doullens, un oras mic de 6000 de locuitori in Picardia si in special de se ocupa de aceste persoane. Noi o sa facem anul asta scolar differite proiecte pentru a appropria legaturile intre generatii. Acest blog o sa fie deci si un loc de scimbiuri, de experiente pentru a developa simtul european al tinerilor. Best Regards

vendredi 18 mai 2007

Accueil d'enfants en Roumanie

La maison de l'espoir
à Campina


"les enfants pris en charge sont,en général, des enfants qui ont été abandonnés par leurs parents.
En Roumanie, c’est un fait courant qu’une famille qui a trop d’enfants, les « place » dans des institutions, les « loue » dans des fermes pour travailler ou… les « vend » au marché noir.
De là, les restrictions imposées par l’UE en 2003, ce qui fait qu’actuellement, les adoptions internationales sont toujours (officiellement) interdites.
Les enfants sont tenus le plus longtemps possibles (en tous cas, ici à Campina) parce que la Sœur responsable veut qu’ils apprennent un métier avant de les « mettre dehors ".
Les contacts de ces enfants avec leur famille existent encore , mais ne sont pas très fréquents, à mon avis"

Vous pouvez lire le reportage suivant (réalisé par Michel) sur : http://www.j-habite-en-roumanie.com/adoptions.php

Casa Sperantei, la Maison de l'Espoir, est située dans une rue tranquille, au sud et à l'écart de la ville proprement dite de Campina, sur la DN1 entre Ploiesti et Sinaia, dans le Judet de Prahova.
Elle est dirigée par une Soeur Directrice, Soeur Marisa Zanetti. La maison héberge par ailleurs d'autres soeurs religieuses. Elles sont 6 au total, dont certaines, Françaises et Italiennes. Cette institution a été fondée en 1999, en réaction aux nombreuses carences des institutions d'état. Les Soeurs voulaient mettre l'accent sur le respect de l'enfant.

Soeur Marisa, la directrice Aidées par un personnel dévoué et compétent (40 personnes au total), elles accueillent aujourd'hui 55 petits pensionnaires, entre 0 et 6 ans. Pour l'instant, la maison profite toujours d'une dérogation lui permettant de soigner les enfants en-dessous de deux ans, mais prochainement, la Loi ne les y autorisera plus. Encore de nouvelles restrictions pénibles, par conséquent.

Le terme de "maison" ne convient d'ailleurs pas réellement. Il s'agit plutôt d'un énorme complexe, formé de deux bâtiments. L'un héberge les enfants et l'autre la ferme qui leur permet de vivre.
promenade dans la ferme Dans le bâtiment principal, on trouve absolument tout ce dont un enfant a besoin pour vivre décemment. Salles à manger, dortoirs, infirmerie, cuisine, salles de jeux...
Mais la Maison de l'Espoir ne peut compter que sur elle-même et sur les généreux sponsors pour s'en sortir (les aides d'état sont très limitées). Aussi, une partie des aliments nécessaires à la nourriture des enfants est fabriquée sur place. La ferme héberge quelques animaux et dans le grand jardin poussent les bons légumes bien frais.
Un grand jardin... Entre ces deux bâtiments, une grande plaine de jeux permet aux enfants de se défouler lorsque le temps le permet.

Regardez la vidéo proposé par Michel :

Casa Sperantei, la maison de l'espoir en Roumanie
Vidéo envoyée par ACarre

Accueil des enfants des rues à Bucarest

La Maison Gavroche à Bucarest

La maison Gavroche est une maison "pilote".

Équipe: directrice, éducateurs, infirmière, médecin et psychologue.

Elle accueille 35 enfants des rues de 3 à 14 ans.
Les parents sont recherchés et retrouvés dans 60% des cas. Une aide à la famille pour reprendre l'enfant est mise en place.
Les enfants sont replacés dans leurs familles ou dans des familles d'accueil

De travailleuses familiales pour les familles en difficulté viennent en aide aux jeunes mères et jeunes femmes enceintes, aide en nourriture ( avec l'association "Feed the children").

Casa GAVROCHE - sos Colentina, 6A - Bucuresti sector 2 - tél: 1 242 09 87

Accueil des personnes âgées en Roumanie

Nous avons eu connaissance de l'existence de
"Camin Batrânilor" (Maison de retraite) de Satu Mare

Le dispositif de protection de l'enfance dans le département de Satu Mare en Roumanie

Rapport de stage riche en informations

à consulter sur le web : http://www.fesu.org/fesu/upload/pdf/Secucities_Jeunes_Roumains_Satu_Mare_Willette.pdf

Le système national d'assistance sociale en Roumanie

informations concernant la prise en charge des personnes âgées

http://www.oecd.org/dataoecd/46/8/2075395.pdf

Typologie des différents modes de prise en charge

Etude récente de la DREES
(Ministère de l'emploi et de la solidarité- France)


"typologie des différents modes de prise en charge de la dépendance et de son financement par les pouvoirs publics, dans différents pays europeéens, notamment en fonction des logiques institutionnelles régissant leur système de protection sociale"

http://www.cnav.fr/4presse/themes/pdf/theme5/etranger/prisenchar.pdf

Accueil des personnes âgées dans un centre de jour

Le centre de jour de Statu Mare
(Club de Espérance)

Ce centre de jour se caractérise par l'accueil des personnes âgées encore en " bonne santé " qui vivent le plus souvent, seules, mais aussi, en famille.
Toutes, refusent de rester " isolées " chez elles pendant la journée.
Le Club leur propose des rencontres conviviales et des activités.
Aujourd'hui, le " Club Espérance " comprend une salle de 80 m2 et une plus modeste pour les rendez-vous. Jeux d'échecs, bibliothèque, télévision, magnétoscope, orgue électrique... sont à la disposition des membres du Club.
Une thérapie de groupe est aussi proposée.
Les locaux du " Club Espérance " ont été prévu pour accueillir 150 personnes.
Après 7 ans de fonctionnement, ils en reçoivent plus de 300.

Compte-rendu

Voici les informations que nous avons obtenu sur la situation des personnes âgées en Roumanie

Les situations de précarité et de marginalisation des personnes âgées augmentent au fil des années
En Roumanie, les retraités représentent 28% de la population.

interview d'un jeune français en Roumanie :
" il existe deux types d'institutions, les mêmes qu'en France, des maisons de retraite publiques financées par l'état Roumain, et donc a des prix abordables pour les familles... mais l'état global de ces maisons est tres moyen. (cela dépend des investissements des régions)

Et apparait depuis quelques années, des maisons de retraites privées, a des prix beaucoup plus élevés, et le plus souvent inabordable pour la grande majorité de la population...(mais plus propre)
La retraite moyenne est de 150 euros par mois. (apres 45 ans de travail) Il est évident que cette somme ne suffit pas pour vivre dignement, meme avec le niveau de vie en Roumanie.

Dans les discussions que j'ai pu avoir avec des responsables d'asso, ils me disaient que dans certain village, en hiver, il fallait choisir entre se chauffer ou manger...(pour les veuves)"

Accueil des personnes âgées en Roumanie

Maison de retraite privée

vous pouvez visiter sur le web:
http://www.orhideea.com/

Quelques photos de lieux d'accueil pour enfants

envoyées par Mariela Neagu, secrétaire d'état en Roumanie :
(mai 2007)




mercredi 16 mai 2007

l'émission "J'irai dormi chez vous" (France5)

Voici un reportage sur la Roumanie tel que nous aurions aimé le faire.
Aller à la rencontre des gens.......
Nous aussi nous avons rencontré nos amis roumains ....mais en France !
Nous aussi nous avons rencontré nos amis roumains mais sur le Web !
Aujourd'hui,
nous nous aimerions aller à la rencontre des jeunes roumains en Roumanie....
Bientôt....Peut-être !!!!


j'irai dormir chez vous_roumanie
Vidéo envoyée par sniperss

vendredi 11 mai 2007

protection de l'enfance en Roumanie

Nos amis roumains nous informent qu'une campagne de prévention (Campaniei mass media «Şi tu poţi fi un părinte mai bun» :"You can be a better parent too") a été lancée depuis fin janvier et jusque fin mai 2007 :

3 spots diffusés à la TV



Protection de l'enfance
Vidéo envoyée par ACarre

Protection de l'enfance
Vidéo envoyée par ACarre

Protection de l'enfance
Vidéo envoyée par ACarre

jeudi 3 mai 2007

Témoignage de Julien

Julien est en stage "entreprise" en Roumanie et nous donne son point de vue dans une vidéo : cliquez ici
et quelques photos récentes : cliquez ici

dimanche 25 mars 2007

Quelques données chiffrées

Informations et statistiques sur la Roumanie : cliquez ici

dimanche 11 mars 2007

Protection de l'enfance en Roumanie

Nous avons obtenu auprès de Madame la secrétaire d'état - Mariela Neagu - la loi du 21/06/2004 sur la protection et la promotion des droits de l’enfant


La réforme de système de protection de l'enfant en Roumanie date de 2004.

En janvier 2005 a été créée l' "autorité nationale pour la protection des droits de l'enfant" (NAPCR) qui coordonne le processus de réforme au niveau national.
Dans chacun des 41 départements de Roumanie, une administration départementale est en charge de la protection de l'enfant.

Depuis le 1er janvier 2005, l'institutionnalisation des enfants abandonnés âgés de moins de 2 ans est interdite. Et donc, pendant les 2 premières années de leur vie, les bébés abandonnés restent dans les services hospitaliers ou sont confiés à des assistantes maternelles rémunérées.

Actuellement, il y a 1718 services publics pour la protection de l'enfant fonctionnant en Roumanie, 1140 sont des services du type de "résidentiel-soin".

Ce type de services assure l'entretien, le rétablissement et le développement de la capacité de l'enfant, aussi bien que de ses parents, et aide à surmonter toutes les situations qui pourraient mener à la séparation de l'enfant de sa famille.

Il existe des services de garderie, des Consultations pour aider les parents, des centres d'aide et d'assistance pour la réintégration des enfants avec des problèmes mentaux et sociaux, des services de surveillance, aide et soutien des femmes enceintes en danger d'abandonner leurs enfants.

Vous pouvez aller sur le site NAPCR (en Roumain et en anglais): http://www.copii.ro/content.aspx

Travail réalisé par Hélène

samedi 10 mars 2007

Protection de l'enfance en Roumanie

Selon la nouvelle loi entrée en vigueur le 1er janvier 2005,

http://www.cites-unies-france.org/html/bibliotheque/pdf/Loi_no_272_2004.pdf
toutes les communes doivent créer un service d’assistance sociale comportant un « conseil communal de famille », composé des personnalités bénévoles du village (le maire, le prêtre, le gendarme, le médecin, etc…) qui connaissent les familles en détresse et devraient intervenir pour les aider.

Le « conseil communal de famille » doit travailler en coopération avec des assistantes sociales dont la loi impose l’embauche aux communes et aux hôpitaux, pour aider les familles en difficulté et convaincre les femmes enceintes de ne pas abandonner leur enfant.

Les ressources financières pour aider les familles en détresse font défaut : l’allocation d’Etat, dite de la loi 416, qui transite par le budget des Départements pour être distribuée par les communes, est de l’ordre de 7 Euros par mois (210 000 lei)

De nombreuses associations er fondations qui viennent en aide aux parents connaissant des difficultés familiales existent en Roumanie.

Nombreuses sont celles qui travaillent sur la prévention de l'institutionnalisation des enfants. Visitez le site http://www.fcn.org.ro/index_f.htm (en roumain et en français)

et bien d'autres encore sur : http://www.copii.ro/content.aspx?id=79

Travail réalisé par Marion

samedi 3 mars 2007

« Complexe de services pour enfants handicapés Trivole » de Pitesti

extraits du rapport SERA ROMANIA 2005 :
"La ville de Pitesti, chef-lieu du département de Argès, se trouve à une heure d’autoroute de Bucarest.
Nous y sommes accueillis par M. Adrian Macovei, Directeur Général de l’Assistance Sociale et de la Protection de l’Enfant du Département, et par M. Pena, son adjoint.
Le « complexul de servici pentru copii cu handicap » est installé pour partie dans le bâtiment d’un ancien orphelinat construit en 1970, réaménagé grâce à un financement de l’Union Européenne (programme Phare), et pour partie dans un bâtiment neuf dont la construction a été financée par SERA moyennant un investissement de 230 000 Euros.
La directrice s’appelle Maria Tanase.
Elle explique que le premier rôle du « complexe » est de servir de « centre de jour » pour accueillir les enfants handicapés des familles de la ville de Pitesti et des environs, et éviter ainsi l’abandon.
Inauguré l’été dernier, le « centre de jour », appelé aussi « centre de récupération », accueille actuellement 38 enfants, et il est loin d’avoir fait le plein de sa clientèle potentielle que Mme Tanase évalue à 200 enfants.
Le « complexe » a une seconde fonction qui consiste à servir d’orphelinat, baptisé « centre résidentiel », pour les enfants handicapés qui sont abandonnés.
Ils sont actuellement 19 dans ce cas, dont 5 petits rescapés du mouroir de Vulturesti , et 14 autres venus récemment directement de familles en détresse, dont des jumeaux juridiquement adoptables.
Mme Tanase nous fait visiter les locaux ultra-modernes, dotés de tous les équipements dernier cri : ergothérapie, hydrothérapie avec piscine, orthophonie, kinésithérapie…
Le personnel comprend 39 salariés, dont un médecin, une psychologue, des éducateurs et éducatrices spécialisés,etc…
Dans le « centre résidentiel », les dortoirs et les salles de jeu sont gaiement aménagées, et les installations sanitaires sont excellentes.
Nous y trouvons les petits, âgés de 3 à 8 ans, en survêtement rouge, qui regardent une cassette à la télévision, sagement assis sur leurs chaises.
Ils sont affectés de handicaps divers mais, contrairement à ce qui se passait à Vulturesti, plus aucun n’est grabataire : « ils sont tous verticalisés », dit Mme Tanase."

Travail réalisé par Marine

mardi 16 janvier 2007

Roumanie - un état des lieux -

Nous vous proposons cette émission "les dessous des cartes" diffusée sur Arte
qui réalise un état des lieux de ce pays
que nous apprenons à découvrir jour après jour.



Roumanie
Vidéo envoyée par Ali_La_Pointe